Les Professionnels Process Communication Recrutement sont qualifié à utiliser le Process Communication Model® pour
Pour pouvoir obtenir cette qualification par exemples les personnes suivante
répondent aux critères suivant:
En 1978, quand la sélection des astronautes fut mise en place par la NASA dans le cadre du lancement de la première navette spatiale, j’ai invité le docteur Kahler à participer avec moi, en tant que consultant, à un cycle de sélection. Alors que j’échangeais individuellement avec les candidats, le docteur Kahler se tenait près de moi, assis tranquillement, ne posant que très rarement des questions. Après une dizaine de minutes, je le voyais prendre quelques notes sur un morceau de papier et poser cette feuille sur le sol, à nos pieds.
À la fin de chaque entretien, nous partagions nos observations. À ma grande surprise, il avait été capable d’extraire et de noter la même quantité de données significatives sur la Structure de Personnalité du candidat que moi, en une fraction minime du temps qui m’avait été nécessaire. Ce jour-là, je me suis dit qu’il fallait que j’apprenne à faire la même chose !
C’est ainsi qu’est née entre nous une longue et stimulante relation professionnelle, qui continue de s’enrichir au fil des années qui passent.
Sur le chemin de ma vie, j’ai eu l’opportunité de connaître un grand nombre de « géants » dans le domaine des sciences et de la médecine comportementale ; des personnes méritant leur renommée nationale et internationale – et ceci comprend des prix Nobel ! J’ai eu des mentors et des professeurs remarquables, mais ce qui m’a le plus apporté dans tout ce que j’ai appris, c’est le contact de Taibi Kahler.
Terence McGuire, M.D., 1994
B.S., Biologie et Chimie
M.S., Physiologie
M.D., Interne en médecine.
Psychiatre.
Professeur associé au département de psychiatrie de l’université du Texas.
Examinateur au American Boards of Psychiatry and Neurology.
Prix spécial de l’American Medical Association pour ses contributions à la médecine spatiale.
Colonel en chef – USAF (NZ) (Ret.) – Reconnaissance spéciale pour ses études sur la psychophysiologie du stress en situation de danger de mort
Il y a eu pour moi un avant et un après la découverte de la Process Communication.
Je l’utilise pour bien des choses. Jérôme Lefeuvre m’a demandé un exemple concret, en voici un premier :
Je fais désormais tous mes recrutements de cadres supérieurs en m’appuyant sur le Profil Process Communication. Je rencontre plusieurs candidats et lorsque je commence à avoir un bon feeling avec certains d’entre eux, je leur demande de rencontrer un consultant certifié Process Communication qui prend deux ou trois heures avec eux. Pendant l’entretien qu’ils ont ensemble le consultant leur présente les hypothèses faites par le profil informatique et les invite à les commenter.
Ce qui m’a particulièrement convaincu dans cette méthode, c’est que les informations sont vérifiées par la forme de leurs réponses et leur comportement pendant l’entretien. Il n’y a pas de doute lorsqu’il s’agit de vérifier un canal ou une perception. Les critères sont indiscutables. Pas de subjectivité.
Je peux ensuite croiser les critères objectifs du Profil Process Communication à mon propre feeling.
Pour l’un de ces recrutements voici quelques années, je n’ai pas tenu compte des informations croisées et pourtant cohérentes entre mon feeling et les commentaires du consultant Process Communication. J’ai eu à le regretter. Ce fut, et ce sera la dernière fois…
Dans mon quotidien professionnel, je souhaite donner un autre exemple. Je suis utilisatrice de Process Communication depuis plus de dix ans et il est devenu facile pour moi de repérer les signaux de stress des personnes que je côtoie. J’ai appris à offrir le mode de communication ou la satisfaction du besoin que j’ai détecté. Dans de très nombreux cas, j’ai pu rétablir un contact efficace et performant.
Dans mon métier où l’efficacité dépend beaucoup de la rapidité et de la fluidité, je constate que la Process Communication m’a apporté l’une et l’autre.